Bilan

Pour le bilan de ce voyage, pas besoin de grandes phrases, juste d’une photo :

Coup de foudre

Dans chaque pays où je vais, il y a toujours une ville ou un endroit qui me marque particulièrement  et qui me donne envie d’y passer le reste de ma vie… Mon coup de coeur de ce voyage a été Essaouira, ville magnifique par ses couleurs et sa tranquillité ❤

                

Miam

L’un des plaisirs de voyager, est de tester les différentes spécialités… Surtout que la cuisine arabe et moi c’est une grande histoire d’amour !

Beauté

Voilà quelques photos d’endroits qui m’ont plu à Marrakech.

   

From where I stand

Si vous connaissez Instagram, vous connaissez peut-être le « hashtag » #fromwhereIstand, qui consiste à prendre des photos de là où on se trouve. Mais la photo ne doit pas montrer le paysage que l’on voit, seulement ses pieds avec le sol.

J’ai trouvé drôle de faire une série de #fromwhereIstand, puisque même les sols au Maroc sont très différents.

 

Chats

Je sais, je suis grave… Mais ils sont trop mignooons !

  

Portes

Celui qui me dit que j’ai une légère obsession avec les portes… Ben je lui dit que oui, complètement.

Ca peut paraître très bizarre, mais quand vous les verrez vous allez comprendre 😉

Palais

Comme il y avait (et a toujours) des grands rois, ben il fallait construire des grands palais… Sauf que ceux que vous voyez là sont maintenant pour les morts (la famille des Saadiens, où tous les membres de la famille sont enterrés), où bien transformés en musées comme celui de Marrakech.

 

Ourika

À 165 km au sud de Marrakech, on trouve les montagnes du haut Atlas, dont le sommet se trouve à 4160m et est appelé Toubkal. La vallée qui descend du haut Atlas jusqu’à Marrakech s’appelle la valée de l’Ourika. Une rivière (l’Ourika) y coule ce qui rend la région fertile, et des villages se sont donc construits au bord de l’eau. Les populations de l’Atlas sont les berbères, peuples originels du Maroc : ils étaient là bien avant les  juifs et les arabes. Ils ont leur langue (rien à voir avec l’arabe), leur alphabet, leur culture : au point qu’on dise qu’un mariage entre un berbère et une arabe ne peut pas marcher et qu’ils vous foudroient du regard si vous osez leur demander s’ils sont arabes.

Le village berbères dans lequel nous sommes allés Setti Fatma est le premier de la vallée en descendant qui a l’électricité. Il se trouve à 1500 mètres d’altitude (ce qui vaut -10 degrés par rapport à Marrakech -mais pas trop de quoi se réjouir, il fait quand même 35 degrés ahah-). Les habitants vivent du commerce, de la culture et du tourisme.

À 30min de marche (que dis-je, d’escalade -le jour ou je mets des tongs-) se trouve la première d’une série de 7 cascades et une vue imprenable sur la valée et les villages berbères qui surplombent la rivière. Abdoul, notre guide trouvé en chemin (qui me rattrapait à chaque fois que je glissais des rochers et que je manquais de m’étaler comme un caca), grimpait ça comme s’il courrait dans un champs alors que ça me paraissait plutôt comme l’ascension de l’Everest…

Une fois en bas, on découvre un petit coin de paradis : des canapés, tapis, coussins sont installés sur les rives de la rivière ! C’est la qu’on se rend compte qu’ils savent savourer la vie.

Maison berbère

Les berbères sont divisés en 3 populations : les Rifains, les Chleuh et les Braber.

Dans le haut Altas il y a surtout des chleuhs qui vivent tranquilles loin de la ville, et souvent de manière autonome. Exemple : ils font leur pain, leur farine, cultivent leurs plantes etc. Les hommes sont pour la plupart des commerçants et les femmes, elles, font tous les trucs chiants (la maison, les gosses, les champs… Et quand elles ont la chance d’avoir du temps libre, elles ont l’honneur d’avoir le droit de tisser des tapis youhouuuu).